Les Paganiz, des naufrageurs ? Le mythe du Pagan naufrageur a été répandu au XIXè siècle par des écrivains épris de romantisme. Le naufrageur, la vache et la lanterne Cambry évoque, dans son « Voyage dans le Finistère » en 1794, l’existence lointaine des naufrageurs : « Les habitants de ces rivages (...)

Le naufrage du « Bon Succès » en 1788 En janvier 1788, le navire danois « Bon Succès » chargé de toiles vint à la côte à Guissény. Les riverains vendirent les toiles naufragées. Quatre des acheteurs, les épiciers C. Rollet et Jérôme Le Bon, le fripier J. Devaux et le chapelier J. Bernicot furent (...)

Les Paganiz et le Pays Pagan Les limites du pays Pagan. Les limites de ce Bro Pagan ou Lan Pagan ne sont pas faciles à déterminer et changent selon les auteurs. D’après Michel de Mauny, « pour les Lesnevinois, le pays Pagan se réduit aux quatre communes bordant la mer : Guissény, Kerlouan, (...)

VOYAGE EN BRETAGNE : Chez les Paganiz, par François MENEZ (La Dépêche de Brest et de l’Ouest, lundi 12 novembre 1928, p. 1) Le pays Pagan dans le Léon Où nous faudra-t-il courir, dans huit ou dix ans, pour découvrir quelque trace de la Bretagne légendaire, emmurée dans ses traditions, qu’on évoquée (...)

Le naufrage de l'Eulalie en 1814 à Guissény Le registre de délibération du conseil municipal de Guissény dresse le constat d’un naufrage dans la baie de Trésséni le 1er mars 1814. Le bateau et son chargement Aujourd’hui premier mars mil huit cent quatorze est comparu le sieur Mathurin de Moy, (...)

Si les Guisséniens ne furent sans doute pas des naufrageurs, il est en revanche incontestable que leur réputation de pilleurs d’épaves n’est pas usurpée et que cette tradition remonte loin dans le temps pour se prolonger jusqu’à nos jours ! Pilleurs d’epaves Le droit de bris Le droit de bris (ou (...)